Parce qu’être dans l’ombre d’Adriana Karembeu lui convient totalement. « J’y suis habitué. J’évoluais déjà dans l’ombre de mon père qui était une forte personnalité, un grand boxeur. Il était très connu de la communauté arménienne, donc je suivais l’exemple paternel et on me disait que j’étais le fils de…, confie-t-il. Maintenant, je suis le mari de…. Comme ce sont deux personnes que j’aime, ça ne me gêne pas ! »
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