Le bloc Mon pas a fait une déclaration après une discussion avec le Premier ministre, en exprimant son adhésion à sa position.
« La prise de la décision n’est pas dans la juridiction du législatif mais, en tant qu’une équipe politique, nous avons notre position. Le Premier ministre a noté la nécessité d’agir uniquement en tant qu’un Etat de droit en mentionnant également que les préoccupations des habitants, les questions de la protection de l’environnement ne pourraient pas ne pas être pris en considération. A cette étape, il est important que l’organe d’inspection commence ses activités sur place pour révéler les éventuels problèmes. A l’heure actuelle il ne s’agit pas de l’exploitation de la mine mais des travaux de construction qui sont nécessaires à l’étape initiale. Il a été également souligné que l’organe d’inspection prendrait toutes les mesures nécessaires dans le cas où des infractions, des irrégularités par rapport aux normes établies seraient remarqués. Le bloc Mon pas adhère à cette position. », a dit Lilit Makounts, chef du bloc parlementaire.
Quant à la question sur les députés du bloc parlementaire qui s’opposaient à l’exploitation de la mine, Madame Makounts a répondu qu’il n’y avait eu aucune objection.
Elle a précisé que la position du Premier ministre n’était pas aux antipodes des intérêts du peuple en assurant que les mesures prises ne nuiraient pas à l’Etat, à l’intérêt de l’Etat, à la population et à l’environnement.