dans une interview publiée ce jour dans le figaro, l´ex président français valéry giscard d´estaing modère ses propos quant à l´adhésion de la turquie. sur cette question ; il déclare notamment : " je n´ai pas dit que l´entrée de la turquie dans l´union entraînerait la mort de celle-ci. ce que je dis, c´est qu´il faut faire d´abord l´europe européenne et, après, on verra… cela ne doit pas nous empêcher d´organiser nos relations avec les pays voisins, de trouver des modes de concertation avec eux et de prendre en compte leurs aspirations. mais, pour l´instant, concentrons-nous sur l´europe européenne, car elle n´est pas achevée ! réussissons d´abord l´intégration des dix nouveaux États membres, puis de la roumanie et de la bulgarie. il faut tendre à la satisfaction des populations concernées, de façon que, dans quelques années, lors d´élections ou autres, elles ne cherchent pas à remettre en cause leur appartenance à l´union. "
