Dans une interview en date du 24 octobre au journal turc « The New Anatolian » Brent Scowcroft évoque la question arménienne
Question du TNA : Vous avez envoyé à une lettre au président de la chambre des représentants des Etats-Unis le mois dernier pour critiquer les résolutions arméniennes proposées, et vous avez obtenu un certain volée de flopés pour ceci. Pourriez-vous répondre à ceci?
SCOWCROFT: Je ne suis pas étonné parce qu’il y a de vifs intérêts dans notre congrès pour représenter les vues Arméno-Américaines. Mais je pense que j’ai essayé d’exprimer ce que j’ai espéré être l’orientation de notre congrès. Particulièrement quand ils prennent finalement ces résolutions. Je crois fermement que cette question n’est pas que quelque chose sur quoi on peut légiférer. C’est quelque chose qui doit être discutée par les historiens. J’essaye de leur dire que la chose importante pour nous est de regarder en avant, pour ne pas être coincé dans ce qui peut ou ce qui ne s’est peut pas produit dans le passé.
TNA: Que peut-il être fait pour l’avenir des relations turco-arméniennes?
SCOWCROFT: Je pense que la première chose est ceci. Si les Turcs et les Arméniens pourraient avoir une commission commune (comme proposé par le premier ministre turc plus tôt cette année) peut-être avec certains autres experts de pays tiers en matière ou avec des experts de cette question de l’ONU une ouverture des archives, une discussion sur ce qui s’est produit dans le passé et une évaluation aideraient vraiment. Et pour moi, ce serait particulièrement en faveur des Arméniens. Puisque l’Arménie est un pays sans littoral, ainsi eux pourrait avoir une frontière productive ouverte avec la Turquie. Ainsi il est important que les deux côtés aillent de l’avant mais qu’ils ne soient pas traîné par quelque chose s’est produit en 1915.