WASHINGTON (Reuters)
Extraits
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Les critiques disent qu’elle a mal calculé son coup.
« Ce n’est pas certainement le meilleur moment » a déclaré Michel O’Hanlon, chercheur en politique étrangère à Brookings Institution à Washington.
« Il n’y a eu aucun grand mal de fait, mais nous devons trouver des façons de réparer les relations Américano-turques ».
Son trébuchement sur la résolution Arménienne a donné plus de munitions aux critiques Républicains.
Ils ont appelé le projet de loi « irresponsable » ou « dangereux ».
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Même quelques-uns des alliés les plus proches de Pelosi, comme le représentant de Pennsylvanie John Murtha, disent qu’elle a méjugé la résolution arménienne.
Murtha, qui s’oppose à la mesure au motif que les Etats-Unis n’ont pas d’autres « alliés damnés » et ont donc besoin de tenir la Turquie à ses côtés, compte 60 votes Démocratiques contre cela et dit qu’elle échouerait si on devait la voter.
« Elle s’estime moralement liée à cette question » a dit Murtha.
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« Je pense que c’est de la politique plus intérieure, jouer pour intéresser des communautés que de la politique étrangère » a déclaré Henry Nau professeur de relations internationales à l’université George Washington.
« Si les membres du Congrès complotent avec des groupes d’intérêt pour affaiblir l’appui turc à la politique américaine en Irak et saper ainsi des forces américaines en Irak, le drame épaissit au-delà de ma capacité de compréhension » a-t-il dit.
