Le premier ministre a dénoncé une « tentative de coup d’Etat », après que l’état-major a réclamé sa démission. La menace d’un putsch semble pourtant écartée.
Des centaines de policiers s’alignent le long des grilles du Parlement arménien. Face à eux, des milliers de manifestants écoutent dans le calme, ce mercredi 3 mars, les discours enflammés des représentants de l’opposition à la tribune, installée au milieu de l’avenue, à Erevan, à côté des tentes où campent désormais les protestataires.
LA SUITE SUR LE LIEN PLUS BAS