Après de nouvelles violences entre Arméniens et Azéris, qui ont fait au moins trois morts dans l’enclave disputée du Haut-Karabakh, la Russie, censée garantir l’application d’un accord de cessez-le-feu signé en 2020, appelle les deux parties à la « retenue ». Étincelle isolée ou reprise larvée des hostilités ? Frédéric Encel, maître de conférences à Sciences-Po, livre son analyse.
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