REPORTAGE – L’autocrate azerbaïdjanais surfe sur la victoire dans le Haut-Karabakh pour encore durcir son règne.
Avant même d’arriver à Bakou, le décor est planté. Pour atteindre la méconnue capitale azerbaïdjanaise, visa indispensable en poche, le transit se fait par le moderne et luxueux aéroport Gueïdar-Aliev, renommé en 2004 en hommage au père du président actuel, Ilham Aliev. Disparu fin 2003, Gueïdar aura pris soin de léguer son siège à son fils, après avoir de facto régné pendant plus de trente ans sur l’Azerbaïdjan, avant et après l’indépendance du pays en 1991.
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