Après l’intervention policière, des habitants du squat sont sortis. Deux hommes seuls, un Arménien et un ancien journaliste géorgien, choqués, se demandent où ils vont dormir ce soir.
« C’est comme si nous étions des terroristes. Ils sont arrivés avec les armes et tout… Les enfants ont eu peur », raconte Artashes, 40 ans, un réfugié arménien.
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