De plus en plus d’artisans se mobilisent pour défendre leurs salariés et apprentis qui, réfugiés, arrivent en fin de procédure administrative et sont menacés d’expulsion. C’est aussi le cas à Pamiers.
Le coup de massue est tombé le 1er février, au sein de l’entreprise de peinture Todeschini, qui va bientôt fêter un quart de siècle d’existence à Pamiers. Tout simplement par ce que A., réfugié arménien employé depuis le mois de juin 2020, vient de recevoir une “obligation de quitter le territoire français”. OQTF qui frappe également son épouse et ses deux enfants scolarisés à St-Girons.
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