La maire de Paris estime que ces détenus, parmi lesquels se trouvent huit anciens dirigeants du Haut-Karabakh, sont des prisonniers politiques.
Une libération « immédiate » et « sans condition » de 55 prisonniers arméniens du Haut-Karabakh. C’est ce qu’a demandé la maire de Paris, Anne Hildago, ainsi que des défenseurs des droits des Arméniens vendredi lors d’une conférence de presse à l’Hôtel de Ville. Selon eux, ils sont « détenus en otage » par l’Azerbaïdjan.
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