Appel à la reconnaissance internationale du Haut-Karabakh

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L’offensive contre cette province arménienne, enclavée dans le territoire de l’Azerbaïdjan, est d’une ampleur et d’une violence inédite : l’Azerbaïdjan bénéficie cette fois-ci de l’aide de la Turquie. De nombreux chercheurs, spécialistes de la région, veulent alerter sur les risques de crimes contre l’humanité.

Tribune. Le 27 septembre dernier, l’Azerbaïdjan lançait une attaque militaire concertée contre la République du Haut-Karabakh, Artsakh en arménien. Depuis, cette offensive s’est transformée en guerre ouverte et désormais en guerre totale contre cette province arménienne, enchâssée dans le territoire de l’Azerbaïdjan de par la volonté de Staline en 1921, et qui a conquis son indépendance en 1991, faisant face entre 1992 et 1994 à une première offensive dévastatrice de l’Azerbaïdjan.

La suite sur le lien plus bas :

Premiers signataires :

Yves Ternon, président du Conseil scientifique international pour l’étude du génocide des Arméniens (CSI), Dominique Schnapper, directrice d’étude émérite à l’EHESS, Raymond H. Kévorkian, directeur de recherche émérite à l’Université Paris-VIII, Annette Becker, professeure émérite à l’Université Paris-Nanterre, Hamit Bozarslan, directeur d’études à l’EHESS, Claire Mouradian, directrice de recherche émérite au CNRS, Vincent Duclert, chercheur au Cespra (EHESS-CNRS), Anouche Kunth, chargée de recherche au CNRS, Mikaël Nichanian, chercheur associé au laboratoire Orient et Méditerranée (Collège de France-CNRS), Janine Altounian, psychanalyste, Frédéric Encel, maître de conférences (HDR) à Sciences Po, Mireille Bardakdjian, doctorante au Cespra.

La rédaction
Author: La rédaction

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