Les autorités de Bakou, sans adresser une fin de non recevoir au principe de l’envoi d’une mission du Parlement européen chargée de dresser un état des lieux du cimetière arménien de Djoulfa, au Nakhitchevan, dont les pierres tombales ont été détruites par les soldats azéris, ont posé leurs conditions, en faisant savoir qu’elles n’accepteraient une telle mission que si elle s’effectuait sur des bases « bilatérales ». La présidence du Parlement européen avait décidé la semaine dernière qu’une délégation composée de membres de la commission parlementaire en charge de la coopération entre l’UE et l’Arménie soit dépêchée à Djoulfa dans le cadre de sa visite prévue en Arménie du 17 au 21 avril afin d’évaluer les dommages causés par les actes de profanation et de vandalisme perpétrés par les soldats azéris dans un cimetière arménien de cette région d’Azerbaïdjan enclavée entre l’Arménie, la Turquie et l’Iran. La délégation doit encore attendre le feu vert des autorités azéries.
Bakou pose des conditions à l’envoi d’une mission d’inspection européenne à Djoulfa
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