«J’avais dit qu’on chasserait les #armeniens comme des chiens, declare le Pr #Azerbaidjan et nous l’avons fait». Eh bien cette capitulation de l’#Armenie me brise le coeur.Ce lâchage en rase campagne d’un peuple chrétien me dégoûte. Ce cadeau à #Erdogan est une erreur historique
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) November 10, 2020
Daniel Bernard, ambassadeur à Londres, qualifiait en 2001 Israel de «petit pays de merde», épine dans le pied des chancelleries. Eh bien même chose avec l’#Arménie et sa fixation sur #HautKarabakh. Caillou ds la chaussure de #Erdogan et de ceux qui veulent l’apaiser. Degueulasse.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) November 10, 2020
Le cessez-le-feu au #HautKarabakh est un diktat. Chasser les #Arméniens comme des chiens, nous l’avons fait, dit le président #azéri. Et l’Occident laisse faire cette ignominie. L’#Arménie est notre alliée métaphysique. Nous en sommes les obligés. Et pour l’heure de piètres amis.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) November 10, 2020
Ainsi, face à un pays martyr, on peut employer des séides islamistes, viser des cathédrales, tuer des civils- et l’on gagne! Le cessez-le-feu au #HautKarabakh est un coup de force. Une Galerie des glaces façon 1870. #Erdogan et #Poutine dépècent l’#Armenie et l’Europe est muette
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) November 10, 2020