Les talents qui ont réussi à convaincre leur coach lors des battles de The Voice vont cette fois s’affronter sur les K.O, dernière étape avant les Lives ! Cette année, les règles évoluent puisque chaque coach présentera sur scène les 7 talents de son équipe sur une chanson choisie par les talents eux-mêmes. Aux portes de la Demi-Finale, ils n’ont pas le droit à l’erreur !
A l’issue de chaque K.O., deux possibilités :
– Le coach buzze et son talent est qualifié pour la suite de la compétition,
– Le coach ne buzze pas et décide de mettre un terme à son aventure. Le talent quittera aussitôt le concours car aucun vol de talent ne sera possible.
A la fin de cette étape décisive des K.O., chaque coach ne gardera que 3 talents dans son équipe qui accéderont directement à la Demi-Finale.
Ce soir, c’est l’équipe de Pascal Obispo qui rentre en scène… Et donc Hakob Ghasabian ! Le jeune Prodige avait séduit l’interprète de Fan avec sa voix puissante lors de son audition à l’aveugle sur Broken Vow de Lara Fabian.
Les deux talents avaient bluffé les coachs durant les auditions à l’aveugle, Pascal Obispo ayant souligné la puissance vocale de Hakob lorsqu’il a interprété le titre Broken Vow de Lara Fabian. Quant à Tirso Rafael, sa précision et sa justesse sur le titre Nights in white satin de Moody Blues avaient séduit Pascal Obispo.
Puis été sorti vainqueur de sa « battle » face à Tirso Rafael sur Chanter de Florent Pagny. Le Lillois a su convaincre grâce à « la maturité de sa voix » (dixit Lara Fabian), « sa technique » (soulignée par Amel Bent). Obispo, lui, avait lancé : « Tu es jeune, tu manques d’expérience pour comprendre tout ce que dit la chanson, mais tu as une voix incroyable ! ». Est-ce que ce sera suffisant pour accéder aux live ? Réponse ce soir à partir de 21h05 sur TF1 !
A noter que l’on peut retrouver tous les soirs Hakob via sa page Facebook, lui qui donne un concert à ses voisins lillois. Hier, il a ainsi commémoré à sa façon le 105e anniversaire du génocide arménien… « Tous les ans, à cette occasion, je fais quelque chose pour rendre hommage aux victimes, explique Hakob. Cette année, je devais chanter devant le Panthéon. » Finalement, c’est depuis son balcon qu’il a donné de la voix.