Dans ce gymnase transformé en centre d'accueil pour les réfugiés arméniens, Arevik, 26 ans, accepte de témoigner et de raconter sa fuite : « je n’ai pas eu le temps de prendre quoi que ce soit, j’ai juste attrapé mes enfants »#Quotidien pic.twitter.com/G7vYYMKBNr
— Quotidien (@Qofficiel) October 4, 2023