Une cyberoffensive lancée a été lancée fin avril, après que la France a pour la première fois commémoré officiellement le génocide arménien par le pouvoir ottoman entre 1915 et 1916.
C’était une promesse de campagne du candidat Macron en 2017 : l’organisation d’une journée de commémoration officielle du génocide arménien, qui serait tenue chaque 24 avril. Déjà, en février dernier, Ankara avait fait part de sa colère et « fermement condamné » cette décision. Et selon le site Zataz, spécialisé dans la délinquance informatique, des cyberactivistes turcs ont à leur tour exprimé leur désaccord avec le gouvernement français. Parmi les cibles, des pages web de plusieurs sites publics appartenant à des mairies ou encore à l’Assemblée nationale.
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