Comme Poutine, le président islamiste poursuit son rêve d’empire et accentue sa dérive autocratique. À la veille des élections, le monde retient son souffle.
En Turquie, Vladimir Poutine a choisi son camp : « Je veux le dire sans détour : vous savez comment fixer des objectifs ambitieux et vous cherchez à les atteindre avec confiance. » L’éloge adressé à Recep Tayyip Erdogan a marqué l’inauguration, le 27 avril, de la centrale nucléaire d’Akkuyu, construite par Moscou sur la côte méditerranéenne de la Turquie. Par ce soutien appuyé, Vladimir Poutine venait au secours de son compère à deux semaines des élections présidentielle et législatives du 14 mai. Car ce rendez-vous électoral est sans doute le plus incertain qu’Erdogan ait eu à affronter depuis 2002, le début de son « règne ».
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