Faire face au passé – Un article du Jerusalem Post

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29 août 2007

De plusieurs centaines de milliers à 1.5 million d’arméniens ont estimé les historiens ont été tué par les Turcs Ottomans Musulmans entre 1915 et 1923 dans ce qui est largement vu comme un des premiers cas modernes de génocide systématique. La Turquie, cependant, nie que l’épisode soit considéré comme un génocide, soutenant que le nombre des morts a été très exagéré et que les décès sont arrivés dans un contexte de guerre civile et de troubles.

La discussion a éclaté à nouveau ces récents jours et semaines, en partie à cause de la contreverse avec la Ligue Anti-diffamation sur sa manière de traiter la question. L’ADL a récemment reconnu les massacres comme « équivalent à un génocide » et a rétabli un directeur régional qui avait été renvoyé pour opposition à sa répugnance précédente de faire ainsi.

Tandis qu’Israël est intensément et tout naturellement sensible à sa relation avec le gouvernement actuel Turc, un allié clef, l’état Juif, qui proteste correctement contre la négation de l’Holocauste partout où il arrive, ne peut pas probablement être complice de la négation d’un génocide ailleurs.

À cette fin, Yad Vashem, le mémorial officiel de l’Holocauste en Israël, incluait toujours le massacre des arméniens dans ses activités éducatives sur « d’autres cas de génocide, de purification ethnique et de meurtre massif. »

Des positions semblables étaient toujours prises par d’autres organisations consacrées à l’éducation de l »Holocauste, comme le Centre Simon Wiesenthal. Datant de son premier musée en 1979, le Centre de Wiesenthal s’est donné beaucoup de peine pour inclure les documents de présentation touchant au Génocide arménien.

Comment cela pourrait-il en être autrement ?

La nation juive, la victime accablante de l’Holocauste Nazi, est au centre de l’étude et de la promulgation des leçons de l’Holocauste – de l’accentuation de la capacité de l’homme pour l’inhumanité vers son semblable et la recherche pour le refréner, l’accentuation des dangers pour empêcher les répétitions de génocide.

Inéluctablement, le génocide s’est reproduit et continue à se reproduire, parce que telles leçons ne sont pas suffisamment intériorisées. « Jamais Plus » ont été exposé comme une litanie vide, plus récemment au Rwanda et au Darfur.

L’ouvert, l’examen de bonne conscience par les nations affectées d’épisodes sombres dans leur histoire est un élément clef dans l’essai de changer de cette réalité sinistre. Israël est à peine dans sa position pour forcer la Turquie à se confronter à son épisode sombre mais jamais le signal d’Israël ne devra faire de concession en oubliant cela.

Dénoncer le Génocide arménien n’est pas dénoncer la Turquie et son gouvernement actuel; il n’a pas commis ces meurtres. Mais ses responsabilités sont ceux d’un gouvernement qui succède et ne doivent pas être esquivées.

Notre tragédie mondiale consiste en ce que que l’ancien ministre de la Justice canadien Irwin Cotler a décrit comme « un génocide dans la fabrication » est commis, tout de suite, au Darfur, dans une ère de communication globalisé où aucune nation ne peut prétendre être inconsciente de ce qui se déroule.

Et la tragédie potentielle suivante se développe devant nos yeux aussi, de la même façon visible par la communauté internationale. Le président Mahmoud Ahmadinejad et le régime iranien appellent ouvertement à la destruction d’Israël et cherchent les moyens de le réaliser – en infraction ouverte avec la convention de l’ONU de la post–deuxième guerre mondiale du « Jamais Plus ». Encore le président iranien, loin d’être accusé par le corps mondial établi précisément pour résister à telles atrocités, est au lieu de cela autorisé rester sur la plate-forme et son pays de conserver son adhésion dans la famille de nations civilisées même comme il menace l’existence même d’un autre membre souverain.

(…)

Ce qui est exigé en défiant du regard ceux qui commettraient un génocide, bien sûr, est une alliance de toutes les nations éclairées, faisant une action concertée pour contrecarrer de telles ambitions longtemps avant d’elles ne soient exécutées. La lutte pour un meilleur avenir, cependant, exige aussi la reconnaissance et l’intériorisation des crimes du passé.

raffi
Author: raffi

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