Au-delà du parallèle établi entre ces deux entités de l’ex-URSS jugées confisquées par un État adverse, Kiev et Bakou sont liés par d’importants liens énergétiques et militaires.
Les deux font l’objet d’une agression territoriale, l’une à travers l’«opération spéciale» russe, l’autre des «opérations antiterroristes» azéries menées le 19 septembre. Quoique différemment, les deux sont victimes de la Russie, l’une par une invasion pure et simple, l’autre par le lâchage d’un allié supposé historique. Entre l’Ukraine et la région autonome arménienne du Haut-Karabakh, qui a rendu les armes mercredi 24 heures après le lancement d’une offensive azerbaïdjanaise, des similitudes pourraient émerger. Mais la presse ukrainienne voit les choses différemment.
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