Cherchant à éviter une débâcle militaire totale, le Premier ministre arménien s’est résolu à accepter un cessez-le-feu synonyme de victoire pour l’Azerbaïdjan. D’abord prise de vitesse dans ce conflit, la Russie se pose désormais en garant de l’accord. Une analyse d’Anne Dastakian.
A lire sur :
https://www.marianne.net/monde/europe/haut-karabakh-une-paix-signee-poutine
ou dans le nouveau numéro de Marianne, le 1235 du 13 au 19 novembre 2020 (p31)