« Ils veulent nous briser » : en Arménie, avec les naufragés de l’hôtel Goris

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REPORTAGE. Bloqués dans la dernière ville arménienne avant l’Azerbaïdjan, ils attendent de rentrer chez eux tandis que, dans l’enclave du Haut-Karabakh, 120 000 personnes manquent de tout.
Par Marine de Tilly, envoyée spéciale en Arménie
A l’hotel Goris (Armenie), le 6 janvier 2023. Une jeune habitante de Stepanakert, dans le Haut-Karabakh, console son amie. Elles sont, comme une centaine d’autres personnes, bloquees ici alors que le corridor de Latchine reste ferme.

« Nous serons bientôt ensemble mon amour. » « D’accord, des cigarettes, on te rapporte des cigarettes, tiens bon, à demain. » « Sois gentil avec ta sœur. » À leurs enfants restés au Haut-Karabakh, à leurs fils soldats qui tremblent de froid sur les postes avancés, à leurs maris, leurs amis, leurs amants peut-être ; les femmes de l’hôtel Goris chuchotent des mots doux au téléphone.

La suite sur le lien plus bas.

La rédaction
Author: La rédaction

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