La décision de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) de ne pas examiner à sa prochaine session la question des relations russo-géorgiennes a été accueillie très douloureusement en Géorgie. « Les démarches entreprises par Moscou afin d’atténuer le conflit ont été sans doute déterminantes… L’Europe pour laquelle sa sécurité énergétique s’était avérée cette fois plus importante a préféré reporter à plus tard l’examen de la question sur la Géorgie » selon « 24 saati ».
« Poutine a prouvé avoir de l’influence non seulement à l’Organisation des Nations Unies, mais aussi au Conseil européen » pour « Alia ».