Selon le quotidien Radikal le gang Ergenekon disposait de quatre « postes de commandement » et deux « Présidence civile » directement responsable à face à un « président ». « Les leaders civils » sont responsables de l’organisation des éléments civils dans la société, tandis que les anciens officiers et anciens fonctionnaires du renseignement devait servir de « point d’appui » à l’organisation en son entier.
Selon des documents confisqués l’année dernière, les civils constituent « une organisation intérieure » dans Ergenekon. Ce « cur » est nommé comme « Le lobby » et est dirigé par cinq civils qui sont au contact du reste du groupe via deux personnes « nommées ». Les documents prétendent que « le Lobby » aspire à créer « une contre-force » contre les « ONG étrangères travaillant en Turquie ».
Une autre fonction « du Lobby » est, selon Radikal, « l’influence des syndicats » afin de gagner ainsi du pouvoir économique.
S’exprimant sur « Haber 7 » l’ancien chef de police Bulent Orakoglu dit que « le but final » de l’opération est de détruire le « Gladio turc ». Dans beaucoup de pays, des opérations contre Gladio ont été lancé et ces reliques de la Guerre froide ont été détruites ». « Mais une telle opération n’avait pas été lancée en Turquie. Maintenant j’ai l’impression que la Turquie a pris ce chemin».
Gladio, signifie « Épée » en italien et était un nom de code donné à une opération de l’OTAN visant à résister « à une invasion soviétique » de l’Europe occidentale.