Selon le quotidien turc « Hurriyet » en date du lundi 9 octobre 2006 la Princesse Kenizé Mourad, petite fille du sultan Mourad V, lui-même neveu du Sultan rouge Abdülhamit II et auteur du roman « De la part de la princesse morte » qui raconte l’histoire de sa famille est opposé au projet de loi visant à pénaliser la négation du génocide arménien de 1915.
Cette française ancienne journaliste au Nouvel Observateur a déclaré « cette initaitive du parlement français est du terrorisme intellectuel. C’est la même tactique employée par Staline et Hitler ». Pour la Princesse « c’en est trop cette fois. L’insolente et malicieuse Europe a dépassé toutes les limites. Un représentant de l’UE a déclaré que la Turquie était obligée de reconnaître le génocide arménien comme condition préalable pour son adhésion à l’UE et demandait également de reconnaître le génocide des grecs du Pont et des chrétiens Syriaques. Ce que beaucoup d’historiens (historiens non militants naturellement) nous disent est que, plutôt que de reconnaître ou pas le génocide arménien nous devrions lire, rechercher ensemble des informations et discuter des questions tout en montrant de la tolérance les uns envers les autres »