« dans un avenir proche, le conflit du haut karabagh ne sera pas résolu » déclarent dans l´hebdomadaire britannique « the economist », un groupe de spécialistes. « l´arménie et l´azerbaïdjan ne désirent par réaliser les concessions mutuelles demandées par les observateurs internationaux et le président azéri ilham aliev n´est pas très fort pour demander à son peuple ces concessions » écrit « the economist ». par ailleurs ce dernier trouve « très improbable » la reprise de la guerre. « les multiples violations du cessez-le-feu pourront difficilement devenir des opérations militaires de masse car l´azerbaïdjan est très mal armée et ne prendrait pas le risque d´affronter les forces arméniennes qui bénéficient du soutien effectif de la russie » écrit « the economist » et ajoute « les forces du haut karabagh sont bien équipées et sont plus déterminées que l´armée azérie car cette dernière est critique vis-à-vis de son gouvernement ». krikor amirzayan
