Des centaines de familles se sont rendues dans la soirée du mardi 21 septembre au cimetière militaire de Yerablour où reposent les soldats morts pour la patrie durant la guerre des 44 jours. Parents, femmes, frères, sœurs, enfants se sont recueillis sur les tombes de cette génération de jeunes de 20 ans qui a payé de sa vie le rapport de force inégal mis en oeuvre par la coalition de deux États criminels : la Turquie et l’Azerbaïdjan. Cent ans après le génocide, les forces du panturquisme poursuivent leur plan, dont seule la présence russe sur place empêche la finalisation. Pour l’instant.