Nous voici plongés au cœur d’une amitié que l’auteur entretint, durant son adolescence, en Sibérie, avec Vardan, issu d’une petite communauté de familles arméniennes persécutées dans l’URSS des années 1970. Andréï Makine rend très subtilement hommage à son ami disparu, comme à l’histoire et la mémoire de l’Arménie.
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