Le ministre arménien des infrastructures énergétiques et des ressources naturelles étudie le marché local pour trouver des opportunités de lancement de véhicules électriques, a déclaré le vice-ministre Hayk Harutyunyan aux journalistes.
Il a déclaré que le ministère examinera également le marché du gaz comprimé (utilisé par la majorité des véhicules dans le pays au lieu de l’essence). Il a ajouté que le ministère travaillera à la révision des domaines de l’investissement et de la législation afin de créer des conditions favorables à l’utilisation des véhicules électriques.
Il n’a pas exclu la possibilité de lancer des bus électriques, soulignant toutefois que, du point de vue économique, il est peu probable qu’il soit rentable.
L’Union économique eurasiatique dirigée par la Russie qui comprend la Russie, l’Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan et le Kirghizistan a réduit les droits de douanes sur l’importation de voitures électriques de 17% à 0% et réduit les droits de douane sur les importations de 15% à 5%. Le mouvement est censé stimuler l’utilisation de transports respectueux de l’environnement à travers l’Union économique eurasienne et créer un marché de véhicules électriques.
Dans un mouvement connexe, la municipalité d’Erevan a exempté les propriétaires de voitures électriques du paiement des frais de stationnement dans la capitale.
