La ministre autrichienne des Affaires étrangères, Ursula Plassnik, a déclaré à la presse que l’Autriche a appelé les autres pays européens à être « plus spécifiques » sur l’alternative en cas d’échec de ces discussions. Se demandant ce qui se passerait si les négociations avec la Turquie n’aboutissaient pas à une adhésion effective Ursula Plassnik, a affirmé « il y a essentiellement deux cas de figure. Soit les critères d’adhésion ne sont pas remplis par la partie turque, soit c’est l’Union qui n’est pas capable d’absorber la Turquie ». « Que se passerait-il alors ? Allons-nous nous séparer ou allons-nous mettre en place une alternative satisfaisante pour les deux parties ? » ajoutant « le texte existant nous en donne une petite indication mais je pense que nous devrions essayer d’être plus spécifiques ». Mme Plassnik a nié que son pays veuille entraver le début des négociations. « Nous sommes pour… Cela n’est absolument pas en cause. Mais pour donner notre accord, nous avons besoin d’un texte un peu amélioré. C’est à cela que nous travaillons. Ce n’est pas particulièrement facile » a-t-elle conclu.
L’Autriche souhaite un cadre de négociations « plus spécifique »
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