Il était 23 h (20 h, heure belge) quand le charter des Diables Rouges a atterrit lundi à l’aéroport d’Erevan, la capitale de l’Arménie. Le vol avait presque duré quatre heures, et les joueurs de René Vandereycken étaient fatigués.
Arrivé à Erevan, l’entraîneur belge n’ pas dénié poser pour les photographes avec les militaires locaux.
En Arménie, les Diables jouent déjà leur match de la dernière chance : ils doivent gagner pour éviter que le public belge enterre définitivement son équipe nationale.
“On va essayer de gagner” a déclaré René Vandereycken tout au long de la préparation de l’éqiuipe belge mais “il n’y a plus de match facile.”
Karel Geraerts a déclaré pour sa part à une question de savoir si l’Arménie était plus fort que le Kazakhstan “Oui, on en a vu des cassettes. Ce n’est pas un Petit Poucet. Physiquement, ils sont forts. Dans le football moderne, il faut se contenter des trois points, même si on marque un but chanceux. Les temps où on battait des pays de l’ancienne URSS avec les doigts dans le nez sont passés.”