Les familles des trois victimes exécutées en plein centre de Paris doivent être reçues, ce jeudi, par le juge d’instruction antiterroriste chargé de l’enquête.
L’enquête sur l’assassinat de trois militantes kurdes, dans la nuit du 9 au 10 janvier 2013 à Paris, va-t-elle de nouveau achopper sur le secret-défense ? C’est la question que devraient poser les familles des trois victimes qui doivent être reçues, jeudi 20 mai, à Paris, par le juge d’instruction antiterroriste chargé de l’enquête sur cette affaire qui continue d’empoisonner les relations franco-turques.
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