deux des principaux etats riverains de la caspienne, la russie et lÅfazerba_djan, ont sign_ le 23 septembre au kremlin un accord sur la d_limitation de leur fronti_re dans la caspienne, malgr_ l´opposition de t_h_ran.
l´iran qui a réaffirmé son opposition à ce type d´entente avait déjà contesté à la mi-mai un protocole d´accord signé par la russie et le khazastan sur le partage de la partie nord de la mer caspienne. téhéran avant alors déclaré que "les accords bilatéraux ne pouvaient êtres tenus pour un régime juridique de cette mer".
la querelle sur le partage de cette mer riche en hydrocarbures, ses réserves seraient les troisièmes du monde, dure depuis la fin de l´urss, en 1991. moscou, astana et bakou prônent un partage proportionnel à la longueur des cotes. ce qui donnerait une part de 13 % à l´iran qui en revendique 20 %. téhéran estime en effet avec le turkménistan que le partage doit se faire à égalité entre les 5 pays riverains.
vladimir poutine s´est déclaré convaincu que "le principe d´un règlement étape par étape aboutira en fin de compte à un accord sur le statut de la caspienne avantageux pour tous les pays riverains".
"compte tenu des accords russo-kazakhs et azerbaïdjano-kazakh déjà signés, nous pouvons être sûrs que dorénavant la coopération entre nos trois pays pour exploiter les ressources de la partie centrale et du nord de la caspienne a acquis une base légale", a souligné le président russe. sur les relations de son pays avec l´azerbaïdjan poutine a souhaité une intensification des échanges : "nous ne sommes satisfaits ni par les dimensions, ni par la qualité" des relations commerciales et économiques russo-azerbaïdjanaises ".
