Le président de Debout la République (parti associé à l’UMP) Nicolas Dupont-Aignan, a estimé lundi que le fait que la France n’ait pas mis son véto était « une faute historique » de Jacques Chirac. « Le président de la République, en ouvrant les négociations de façon monarchique seulement quatre mois après le référendum sur la Constitution européenne, bafoue le peuple français. C’est une faute historique » et il est « irresponsable de préparer un référendum dans 15 ans.
C’est maintenant qu’il faudrait un référendum » M. Dupont-Aignan s’en est également pris au président de l’UMP Nicolas Sarkozy, regrettant qu’il « n’aille pas au bout de sa logique. Quelle va être après cela être après cela la crédibilité de l’UMP pour les Français ? ». « Je ne vois pas comment il peut participer à un gouvernement qui prend une décision aussi grave ». M. Dupont-Aignan a aussi « demandé solennellement à ceux qui veulent se présenter à la présidentielle de s’engager à rompre les négociations », s’ils sont élus à la tête de l’Etat.
