Le journal de l’institut des Diasporas et des études sur les Génocides de l’université de Bochum(Ruhr) en Allemagne vient d’éditer un nouveau numéro de sa revue intitulé « Les génocides ne peuvent pas être standardisés » avec un focus sur « l’Europe et la question arménienne ».
Dans son article Michael Jeismann discute de l’Arménie, de l’Europe et du souvenir du génocide. La Turquie conteste celui-ci jusqu’à aujourd’hui et présente les événements comme des actes de guerre.
Aussi longtemps le gouvernement fédéral allemand s’est tu. Michael Jeismann explique comment le génocide arménien est actuellement nié par rapport à la culture du souvenir allemand et européenne et ce que l’avenir européen provoque en Turquie.
Pour Michael Jeismann l’Union européenne devait faire comprendre à la Turquie qu’il y a une autre fierté que le nationalisme.
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6, 1, 2005
Fokus
Michael Jeismann
Europa und die »Armenische Frage«
S. 104-111