Selon une information publiée dans le quotidien Hurriyet 18 juillet, la Turquie et l’Arménie ont secrètement entamés des pourparlers en Suisse. Nous souhaitons ce processus tout le bien possible. Quoique certaines informations de base manquent dans les nouvelles; par exemple, on ne connaît pas le but et la portée des négociations. Mais, généralement on peut estimer que les questions viseront une augmentation des liens entre les deux pays. Le sujet de n’importe quelles pourparlers va probablement se concentrer sur l’ouverture de la frontière fermée par la Turquie depuis 14 ans, la levée de l’embargo économique mise en place par la Turquie, le début des relations diplomatiques entre les deux pays et, légalisation de presque 60000 citoyens arméniens que le gouvernement Turc a été assez tolérant de permettre de vivre en Turquie illégalement jusqu’à présent. En fait, ce n’est pas le secret que l’Arménie désire « normaliser » les relations et que les Etats-Unis suggèrent- et même pressent, la Turquie sur cette question. La possibilité d’intensifier ces pas a augmenté après l’élection de Serge Sargsyan comme président arménien en février 2008. On s’attendait à ce que ce nouveau président tendent plus vers une politique du pigeon comparée à l’ancien président, Robert Kocharian, qui était le porte-parole du côté méchant de la politique arménienne.
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Mais, dans « la Déclaration d’Indépendance » daté due 23 août 1990, l’Arménie dit, « la République arménienne, avec l’approbation de la communauté internationale, prend comme sa mission le génocide effectué en Turquie au temps de l’Empire Ottomane et en Arménie occidentale ». Nous parlons d’un pays voisin qui a sur son drapeau national, l’image de l’Ararat en Turquie, autrement dit, un pays qui fixe évidemment les yeux sur des pays appartenant à la République Turque. C’est aussi le même voisin que d’une part, refuse d’officiellement dire qu’il accepte la détermination des frontières entre la Turquie et l’Arménie, tandis que sur l’autre, déclare qu’ « Il ne met aucune pré-condition sur la table pour des pourparlers pour avoir des relations normales et civilisées avec la Turquie ». On va attendre et voir, comment les négociations bilatérales et secrètes se concluront.
Publié dans le quotidien nationaliste Hurriyet
