Ankara a violemment critiqué la proposition de loi visant à pénaliser la négation du génocide arménien en France. Un fonctionnaire turc a déclaré au quotidien Zaman que « si une telle loi était voté, la France y perdrait ».
Toutefois selon Zaman « on ne s’attend pas à ce que l’ambassadeur turc en France Osman Koruturk soit de nouveau appellé à Ankara » même si « la visite du Président français Jacques Chirac à Yerevan a été étroitement surveillée. Ses déclarations pendant la visite sont susceptibles de déterminer [de la part de la Turquie] une lignée politique plus claire au cours de cette semaine ».