Publié originalement en 2009, alors qu’elle militait pour le droit des femmes, la reconnaissance du génocide arménien et la cause des Kurdes, Requiem pour une ville perdue n’est pas sans rappeler Le silence même n’est plus à toi, de même que Le bâtiment de pierre (Actes Sud, 2013), où, s’inspirant des témoignages de détenus, elle dénonçait la torture. Dans cette œuvre composée de fragments poétiques, l’autrice turque nous ramène à la fin des années 1990 et au début des années 2000, époque où elle écrit des articles dans lesquels elle se porte à la défense des opprimés.
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