« En confrontant deux œuvres très éloignées l’une de l’autre, on s’aperçoit qu’elles se renforcent l’une l’autre. J’ai eu envie de rapprocher un film argentin, La Mujer sin cabeza (La Femme sans tête, 2008) de Lucrecia Martel, de certaines notations très fortes extraites des textes rassemblés en 2015 par Yigit Bener dans Içimizdeki Ermeni (L’Arménien qui est en nous, inédit en français). Il en ressort une idée de culpabilité très étendue à travers le monde, tant il est vrai que la Turquie n’est pas la seule nation génocidaire ou massacrante (ceci dit sans vouloir rien relativiser)« , explique Etienne Copeaux sur son blog.
Un texte à lire ici : http://www.susam-sokak.fr/2018/12/variation-sur-un-theme-argentin.html