De quel droit la Commission européenne se permet-elle de juger l’activité parlementaire de l’Assemblée Nationale française et de condamner une proposition de loi tendant à punir la négation du génocide arménien ?
Non contente de s’en prendre à notre souveraineté et à notre identité, elle s’attaque maintenant à la liberté d’expression et d’opinion des représentants du peuple français.
La Commission européenne a, une nouvelle fois, outrepassé ses prérogatives et porté atteinte à notre souveraineté.
Ce n’est pas à elle de juger du bien fondé ou non d’une telle proposition.