Aujourd’hui, la tâche principale est de délimiter la frontière de manière à ce que personne n’ait envie de reprendre les hostilités : Valentina Matvienko, présidente du Conseil de la Fédération, lors d’une rencontre bilatérale avec Sahiba Gafarova, présidente du Parlement azerbaïdjanais, en marge de l’Assemblée interparlementaire des États membres de la CEI, le 25 novembre à Saint-Pétersbourg.
« Un an exactement s’est écoulé depuis la signature de l’accord de cessation des hostilités dans la région du Haut-Karabakh. Les dirigeants des trois États ont eu la sagesse de signer ce document afin de mettre un terme à l’effusion de sang et de passer à un dialogue pacifique. Mais le processus de négociation progresse lentement, ce qui maintient la région sous tension.
Il y a un an, la Russie a envoyé ses forces de maintien de la paix dans le Haut-Karabakh afin d’instaurer une vie pacifique, de faciliter le retour des réfugiés et de rétablir la confiance entre les parties à l’accord.
Aujourd’hui, la tâche principale consiste à délimiter la frontière de manière à ce que personne n’ait envie de reprendre les hostilités. La Fédération de Russie est intéressée par « une Transcaucasie pacifique et stable et une vie paisible des gens » et fera tout ce qui est nécessaire pour cela » :
